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Saint Amour
05/03/2016 20:15
ous les ans, Bruno fait la route des vins… sans quitter le salon de l’Agriculture ! Mais cette année, son père, Jean, venu y présenter son taureau champion Nabuchodonosor, décide sur un coup de tête de l’emmener faire une vraie route des vins afin de se rapprocher de lui. Et s’ils trinquent au Saint-Amour, ils trinqueront bien vite aussi à l’amour tout court en compagnie de Mike, le jeune chauffeur de taxi embarqué à l’improviste dans cette tournée à hauts risques entre belles cuvées et toutes les femmes rencontrées au cours de leur périple…
Une magnifique comédie! Un moment très agréable. Les acteurs sont excellents. Ce film parle de vins, certes mais beaucoup d'amour, amour de la famille, de la terre, des animaux.....et ce film tombe à pic à l'heure où le monde agricole est en crise.......
La complicité entre Depardieu et Poelvoorde est réelle et ça se ressent.
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Les Tuche 2- Le rêve américain
09/02/2016 14:30
es Tuche, une famille française modeste, voit sa vie changer après avoir gagné 100 millions d'euros au loto. Grâce à l'argent de ses parents, le benjamin de la fratrie, Donald, dit « Coin-coin » part un mois à Los Angeles pour améliorer son anglais. Sur le campus de l'université de L.A., il rencontre Jennifer, la fille du célèbre financier américain Ron Carrington. Donald, impressionné par cette famille qui est l'opposée de la sienne, se sent obligé de mentir sur les Tuche, persuadé que les deux familles ne se rencontreront jamais. Il a hélas la mauvaise surprise de voir débarquer toute sa famille à l'occasion de son seizième anniversaire







J'avais vu Dimanche à la télévision le film LES TUCHE.....................j'ai voulu retrouver les membres de cette famille loufoque au cinéma ..........J'ai trouvé cette suite franchement lourdingue. Les gags sont appuyés, les situations excessives. Certes, on rit parfois......mais ce n'est pas terrible....................
L'actrice que j'ai préférée est Claire Nadeau qui s'amuse assurément dans la peau de la foldingue Mamie Suze et exprime la douce folie qui s'échappe de tout ce petit monde.
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Chocolat
05/02/2016 13:30
n connaît tous Joséphine Baker, l'une des premières stars noires à avoir enflammé les salles parisiennes. Rafael Padilla, alias le clown Chocolat, lui, est retombé dans l'oubli. Pourtant, cet artiste né esclave à Cuba, fut le premier artiste noir reconnu de la scène française, fin XIXème-début XXème. Son amour à lui, c'était le cirque qu'il révolutionna dans un duo inédit. Roschy Zem lui rend hommage en dévoilant ce destin incroyable et Omar Sy dans le rôle-titre l'incarne à merveille.
'histoire commence dans un petit cirque de province où Chocolat joue le sauvage de service. C'est là qu'il fait la connaissance de Footit, un clown qui lui propose de devenir son partenaire. Le duo, un clown blanc tyrannique et un Auguste souffre-douleur, se retrouve vite engagé au Nouveau Cirque à Paris où il fait fureuravant que la célébrité, l'argent facile, le jeu et les discriminations n'usent leur amitié et la carrière de Chocolat . Les envies d'être pris au sérieux, la prise de conscience de son identité face aux discriminations, amènent Chocolat à remettre en cause le tandem.
u delà de l'histoire déjà hors du commun, le film repose sur ses deux comédiens formidables. Aux côtés de Omar Sy, solaire, James Thierrée, petit-fils de Charlie Chaplin, offre un pendant plus sombre et mélancolique et une alchimie parfaite. La piste aux étoiles, ils l'ont bien méritée.









Injustice, exclusion, racisme................ce film soulève une réflexion............. ..............Il y a vers la fin, une scène d'agression assez violente au ours de laquelle des malfrats cherchent à blanchir la peau du héros avec un balai de crin..............on n'oublie pas les kleenex !!
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Les saisons
28/01/2016 19:00
es bêtes sont là, filmées aux quatre coins du monde dans leur habitat intime, de la plus imposante à la plus délicate, cerfs, ours, lynx, papillons, oiseaux, chouettes, et c’est toute une vie cachée qui semble venir sous la lumière. Les becs des oisillons s’ouvrent sur leurs gosiers affamés et rouges, les insectes tournent autour des buffles ou des chevaux sauvages, les rongeurs courent, les oies sauvages migrent et dans les branches d’arbres, les rouges-gorges sont comme des centaines de minuscules boîtes à musique.
n la connaît cette forêt puissante et riche. Elle a diminué, elle a été mise au pas, mais on la reconnaît encore. Elle a travers é les siècles pour venir jusqu’à nous, et tout le film lui rend hommage dans sa splendide variété. C’est une mise en garde, bien sûr, puisqu’en 20 000 ans, elle a reculé, et, avec elle, ce monde sauvage où l’homme se faufilait à peine.
l a fini par s’imposer, les routes sont nées, les jardins se sont dessinés, une campagne à la place de la nature- jusqu’à cet environnement menacé. La leçon est claire, mais il n’est jamais trop tard. Avec un sens de la narration affûté, rendant compte de l’histoire de notre terre, « LES SAISONS » filme un jaillissement bouleversant.














e film est un chef d’œuvre, des plans sublimissimes . C’est un magnifique documentaire sur la terre, les saisons, la faune, la flore. C’est un formidable voyage à travers le temps pour redécouvrir ces territoires européens que nous partageons avec les animaux sauvages depuis la dernière ère glaciaire jusqu’à nos jours. Ce film fait partie des petits bonheurs de la vie et j’y retournerai avec mes petits-fils pour le revoir une seconde fois….
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Mon maître d'école
08/01/2016 15:00

saint- Just- et-Vacquière, un village de 250 habitants perdu dans la garrigue Jean-Michel Buret est l’instituteur d’une classe qui regroupe plusieurs niveaux de l’école primaire. Il est maître d’école depuis 1972 et y enseigne la tolérance, la sagesse au même titre que l’orthographe et les mathématiques. Il s’évertue à soutenir les élèves pour leur donner confiance et les élever plus haut. Après 40 ans d’enseignement au même endroit et d’amour pour ses élèves, Jean-Michel Buurel commence sa dernière année scolaire avant la retraite. Il lui reste juste quelques mois pour dire adieu à ses « petits » quelques mois pour transmettre sa passion de l’éducation.
omment va-t-il vivre cette dernière année et supporter le compte à rebours jusqu’à son dernier jour de classe ? A travers les yeux d’une ancienne élève, aujourd’hui réalisatrice se dessine une école intemporelle où la rigueur se conjugue avec la bonne humeur, une école où la liberté commence avec le respect de celle des autres. Une école qui appartient à tous et au domaine universel de l’enfance.
et cette dernière image bouleversante......................
Je me suis précipitée pour voir ce film pour plusieurs raisons:
- Saint Just-et-Vacquière est un village à 10 km de chez moi..................nous avons donc eu le film en avant première..............
- Je connais Monsieur Burel qui me rappelle Pierre Perret par son large sourire et sa bonhommie.
- J'ai fait aussi un carrière d'enseignante..............
J'ai biensûr reconnu des situations...........j'ai retrouvé des visages d'enfants avec plaisir...............et les derniers mots écrits au tableau noir, je les avais connus aussi.............et j'étais très émue.
Il est bien certain qu'une carrière ne se termine pas sans regrets et émotion surtout lorsque les enfants vous ont accompagnée pendant toute une vie !!!
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