l fallait beaucoup d’audace et une bonne dose de folie pour se lancer dans l’aventure de la
DÉSERT Cup au Mali,
à l’intérieur des territoires peuls, bambaras et dogons, au sein de l’une des plus anciennes civilisatons noires.
est ainsi que Pascale commence son récit et je la citerai souvent car elle a une prose bien plus élégante que la mienne.
Cet exploit, elle l’a réalisé avec succès en 2003, parcourant
179 km
en 46h 44mn 27s
pour se classer 6ème féminine.
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lle m’a souvent parlé de son « véritable plongeon au cœur du livre de géographie de son enfance en admirant les immenses plaines de sable ocre, parsemées d’acacias et de baobabs et dominées par des murailles de grès, des villages qui se fondent dans le paysage. »
lle m’ raconté qu’ « il est difficile de trouver les mots pour qualifier l’accueil réservé par la population : des haies d’honneur , des enfants tapant dans leur mains qui les accompagnaient parfois de longs moments »
Je connais par son récit l’escalade de la montagne sacrée ( plus de 15% avec escaliers, échelles et ponts dogons.
lle a consacré dans son récit toute une page à ce pays « des enfants et du sourire » et avait même pensé partir pour une œuvre humanitaire afin d’apporter l’instruction à ces enfants qui ont su la séduire.
Alors ces quelques photos vont lui permettre de revoir la savane coloré, le sourire des enfants................et de revivre son exploit.
Je crois d'ailleurs l'avoir entendu qu'il faisait partie de ses prochains projets................mais elle en a tant.
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