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hygiène et brosse à dents!!!!!!!!!!!!
06/10/2006 14:33
La consommation annuelle de brosses à dents et de dentifrices reste largement insuffisante : les Français n'utilisent que 1,7 brosses à dents par personne et par an contre 4 recommandées ! Un chiffre consternant lorsque l'on sait qu'une vieille brosse à dents n'est plus efficace pour enlever la plaque dentaire, pour agir dans les espaces interdentaires et risque de léser les tissus de soutien
Donc, premier conseil, changez votre brosse à dents et deuxième conseil, ne l'utilisez qu'à cet usage. Regardez dans mon video blog la video intitulée "HYGIENE"(au dessous du logo) et vous comprendrez mieux .
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Pascale envisagerait donc une course par étapes en Mongolie et rêve de coucher sous la yourte................(je l'apprends dans son commentaire!)
En attendant, voilà ce que je lui propose:
Il existe , sur le territoire de Hautes-Combes , un contact avec la vie en Mongolie.
Dès cet hiver, dans l'esprit "aventure et découvertes" de nos activités d'école de traîneau, nous mettons en place différents types d'habitats nomad es (mongol, sibérien, indien d'Amérique du Nord, tsigane et trappeur canadien) sur le territoire des Hautes-Combes afin que vous puissiez prendre contact avec des cultures très diverses.
La Ger ou yourte mongole.
Entre tente et hutte, la yourte mongole est I'habitat traditionnel des Mongols. Faite pour résister tant au vent des steppes qu'à la chaleur du désert de Gobi ou au froid de la taïga sibérienne, la yourte abrite, aujourd'hui encore, les nomades qui y vivent toute l'année. Notre yourte a été spécialement fabriquée pour nous par une famille de Mongolie. Réalisée avec des matériaux naturels : bois de mélèze pour les armatures, cordes en crin de cheval pour les attaches, toile de coton pour la bâche extérieure, la Ger est un habitat écologique. C'est un lieu de vie confortable bénéficiant d'une bonne ventilation et d'une épaisse isolation lui permettant d'être fraîche en été et chaude et douillette en hiver grâce à la chaleur de son poêle. Décorée avec des meubles et des objets traditionnels, notre yourte sera votre terre d'évasion et vous y dégusterez des spécialités mongoles en rêvant des grands espaces.

C'est bien ce que nous avons vu dans le film, les intérieurs sont très colorés........
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Il pleut
06/10/2006 13:58
Je n'aime pas la pluie, néammoins, je trouve ce tableau superbe!
Merci à Pascale qui me l'envoie.
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Cascade
06/10/2006 14:52
Pour le plaisir des yeux...........
merci pascale
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Le Chien jaune de Mongolie ne fera certainement pas huit millions d’entrées. Il passera probablement inaperçu, mais cette parenthèse de fraîcheur a vraiment de quoi séduire les spectateurs les plus blasés. Il suffit juste de lui laisser sa chance.
(Nous étions deux personnes à la séance de 14H45, car on ne le donne pas le soir.)

Il est à à mi-chemin entre le documentaire et la fiction. L’histoire que nous raconte Byambasuren Davaa est simple et universelle : une petite fille trouve un chien errant mais son père ne veut pas qu’elle le garde et lui demande de l’abandonner. Elle décide donc de le cacher. Une histoire qui pourrait très bien arriver en France, finalement. Mais voilà, elle se passe en Mongolie, chez une famille de nomades et ça, ça change tout.
Tout d’abord parce que ce pays offre des paysages enchanteurs. Tantôt arides, tantôt fleuries, parfois traversées par un troupeau de moutons débonnaires, les steppes mongoles sont mises en valeur par de longs plans larges et de lents travellings
Mais ce qui est le plus troublant et le plus intéressant n’est pas de découvrir des différences entre cette famille et nous, mais de voir combien on se ressemble dans nos différences. Tout au long du film, on suit la famille Batchuluun, des nomades qui se battent pour concilier traditions et progrès, dans leur vie quotidienne. Alors bien sûr ils vivent dans une yourte et ils ne regardent pas la Star’Ac’ le samedi soir, bien sûr, leurs habitudes sont souvent surprenantes, parfois désopilantes, comme le ramassage de bouses et l’utilisation qu’ils en font, mais une famille, reste une famille, avec des parents patients et débordés et des enfants qui ne manquent pas d’énergie. Il faut dire que Byambasuren Davaa a particulièrement bien réussi son casting. Les enfants Batchuluun sont trois adorables garnements qui feraient fondre l’ogre le plus féroce. Toujours prêts pour faire des bêtises, l’héroïne Nansaal, sa sœur et leur petit frère rivalisent de malice. L’un tente d’avaler une statue de Bouddha, l’autre se perd en gardant le troupeau, tous sont désarmants d’espièglerie et d’innocence : « Dis maman, c’est vrai qu’en ville les gens font pipi dans leurs maisons ? » demande même la sœur cadette. Du coup, et c’est surprenant, on rit beaucoup et surtout on ne s’ennuie pas une seconde malgré le rythme langoureux

Ce film est une histoire touchante, un hymne à la vie simple.

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