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Christian Clavier
Nathalie Baye
Gérard Lanvin
Géraldine Pailhas
Jean-Pierre Ménard, ( Christian Clavier )las de voir sa femme (Nathalie Baye) lui refuser le "devoir conjugal", décide conseillé par son chauffeur (Gérard Lanvin) de lui couper les vivres en instaurant une nouvelle règle entre eux : "Pas de cul, pas de fric !"
Le Prix à payer n'est pas une comédie scabreuse et vulgaire mais ce film associe la mysoginie la plus féroce au romantisme le plus touchant. Christian Clavier nous refait son personnage habituel de bourgeois et Nathalie Baye joue parfaitement bien sa femme tout en finesse. On passe donc un bon moment .
Les crises de fou rire sont garanties.
Et cette fois, c'est Monsieur Cocorico qui a eu envie de voir ce film. Je le soupçonne d'être un peu amoureux de Nathalie Baye et elle était superbe dans son rôle d'acheteuse compulsive et de femme qui boit pour noyer son mal -être.
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Paris résonne de mille bruits en ce matin du 5 septembre 1661 : Fouquet, le puissant conseiller du roi, est arrêté sur ordre de Colbert ; le jeune Louis XIV devient le seul maître.
Alors que les autres artistes se précipitent au service du monarque de droit divin, un homme se lève pour affirmer son soutien au surintendant déchu, le poète Jean de La Fontaine. Colbert se jure alors de faire plier le rebelle, seul artiste du royaume à situer son art au-dessus du roi.
Dès lors, La Fontaine, même dans la misère, ne renoncera jamais à ses convictions. Sans argent, il résiste, s'amuse, observe, écrit les Fables, pamphlets assassins contre un régime despotique en pleine décadence.
La Fontaine / Colbert, un affrontement qui durera jusqu'à la mort.
Le drame se joue entre Vaux-le-Vicomte, le Louvre, les allées de Versailles et les rues du vieux Paris, avec un La Fontaine enfantin et vibrionnant joué par Loránt Deutsch, sobre et passionné, un Colbert ténébreux et vindicatif interprété par Philippe Torreton, quelques féminités libertines et un jeune roi hautain
Une page d'histoire qui se confond avec un duel entre l'art et le pouvoir, la liberté et le politique.
Un vieil antagonisme toujours d’actualité.
Lorànt Deutsch est juste, touchant et plein de malice. Je suis tombée avec plaisir dans l’époque de LaFontaine, Molière, Racine.
De nombeuses fables de La Fontaine sont évoquées dans le film, et il m'est revenu en mémoire ce moyen mnémotechnique que nous avions pour nous rappeler les auteurs du 17ème siècle:
"La Racine de La Bruyère Boileu fe La Fontaine Molière où nichent les Corneille que contemple Madame de Sévigné.
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Un film engagé que j’ai aimé.
Le sujet est passionnant, l’histoire et la politique s’entremêlent dans la vie de James Gregory, l`interprétation est excellente. Une belle leçon d`histoire doublée d`un beau mélo.
C’est un bref résumé sur fond d'apartheid de l'incarcération de Nelson Mandela
vue côté matons.
C'est souvent poignant, émouvant et joué avec justesse. C'est un beau film, mais il ne faut surtout pas oublier que la réalité fût encore plus cruelle
Allez voir ce film pour que votre regard change, et peut-être accepterez vous le droit à la différence, et surtout, refuserez l'indifférence, et le manque de tolérance.
Un film pur, sensible et en nuance sur un sujet extrêmement actuel, le racisme Je suis sortie encore plus révoltée contre la bêtise des gens. Cette mentalité de domination des blancs envers les noirs est insupportable.

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….Une petite ville......
Père divorcé, patron de café, Louis éprouve pour Sabine plus que de l'affection. Ils se retrouvent souvent à l'hôtel, l'après-midi. Mais pour cela, il la paye. Elle a d'ailleurs d'autres clients...
Secret, il ne confie sa peine à personne, même pas à sa soeur Agnès dont il est pourtant très proche.
.jpg) Celle-ci, institutrice, est mariée avec Jean-Philippe depuis longtemps. L'amour, la complicité et les années n'empêchent pas les mélancolies passagères. Un jour, Agnès croise Stéphane, un jeune homme qu'elle a connu enfant. Lui aussi transporte un lourd secret...
DECEVANT
Je suis allée voir ce film pour Jean-Pierre Darroussin dont j’apprécie le talent et il en a même pour servir ce film inconsistant. C’est long, très long………..on s’ennuie ferme et lorsque le mot fin arrive, on se dit « j’attends un scénario ». Je ne le recommande pas .
Mais cela est mon humble avis, j’avais consulté internet avant d’aller voir ce film et il est très étoilé :
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Michel Blanc
Julie Depardieu
Emmanuelle Béart
Sami Bouajila
Johan Libéreau
Manu débarque à Paris, où il partage la chambre de sa soeur Julie dans un hôtel modeste. Il fera la connaissance d'Adrien et nouera une amitié chaste et joyeuse avec ce médecin quinquagénaire, qui lui fera découvrir le style de vie de son milieu.
Au cours d'une balade en bateau, Adrien présentera à Manu Sarah et Mehdi, un couple de jeunes mariés qui vient d'avoir son premier enfant.
Une passion amoureuse imprévue et l'irruption de l'épidémie du sida, encore perçue dans les médias et l'imaginaire collectif comme une peste moderne et honteuse vont bouleverser le tranquille agencement de ces destins particuliers. Chacun va devenir acteur et témoin d'un drame contemporain, où ceux qui ne mourront pas ressortiront peut-être plus forts, mais en tout cas pas indemnes.
LE SIDA
Ce film est le portrait bouleversant d'une société en crise d'identité face à l'apparition du sida. Un nouveau jalon dans l'oeuvre de Téchiné, grand révélateur des angoisses et des frustrations de l'homme face à la mort, qui n'en oublie pas pour autant la vie.
Je l’ai trouvé magnifique .C’est l’exaltation lumineuse d'un désir de bonheur rendu plus fort, plus libre, par la découverte du gouffre qui s'est ouvert soudain et a englouti tant de vies.
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