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L'almanach Vermot..................
20/02/2014 17:30
L’almanach Vermot est un almanach fondé par Joseph Vermot publié pour la première fois le 1er Janvier 1886.
Il est conçu pour être lu au rythme d’une page par jour. Celles-ci contiennent des informations pratiques, des blagues et des calembours, des illustrations et divers autres éléments rassemblés pêle-mêle.
Depuis sa fondation, il a gardé la même couverture rouge qui le caractérise.
Il est édité tous les ans hormis quatre années : 1943, 1944, 1945 et 1946.
De nombreux illustrateurs ont collaboré à ses différentes éditions :
Bellus, Dubout, Faizant, Reiser , Wolinski, Pomédio, Faure, Claude Ferran, Faro.
Un calembour emblématique de sa tournure d’esprit a été publié sous un dessin de Henriot dans l’almanach de 1896, le 11 septembre ; il s’agit du fameux :
« Comment vas-tu…yau de poêle ? "
(que l'on entend encore aujourd'hui !!!!)
Cocardier, misogyne, colonialiste et bien d’autres qualificatifs lui sont associés ; le Vermot a été critiqué pour son humour peu raffiné .
Il est sans nul doute une des facettes de la culture populaire française








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On peut rire mais pas se moquer !!!!
13/02/2014 14:54

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L'invité de Laurent Ruquier
13/02/2014 15:00
C'était Samedi dans l'émission : "On n'est pas couché".....................Je ne sais pas si on peut en rire, ce n'est pas politiquement correct !!!Bon, tel père, tel fils....et j'aime beaucoup le père.
Une chronique corrosive
Cher François,
Que ce soit bien clair ! L’Elysée c’est à toi, le jardin, la Lanterne, le Fort de Brégançon, Trierweiler, toutes ces vieilleries, on te les offre ! Mais alors les gonzesses, ça c’est nos attributions.
Mais en plus c’est nouveau là, nous on t’a jamais vu aux réunions des infidèles célèbres ! Tu portais un casque là aussi ou quoi ? Moi, ça va faire dix ans que je suis dans le bâtiment et j’ai jamais vu ta gueule !!!
Et non content de débarquer sans prévenir, tu commences par Gayet ! Non, mais la Gayet c’est du lourd mec. Tu arrives bidoche au vent, la cravate de travers, la lunette embuée, le cure-dent dans la main.
En plus franchement François avec la tronche que t’as, si ce n’est pas de l’abus de pouvoir.
Et toi Julie, sors de là immédiatement, tu es tombée dans un traquenard, les hommes politiques c’est le sida des vedettes.
?
Nicolas Bedos
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Les familles recomposées
12/02/2014 17:00

A bien lire !!!!!!
Familles recomposées.
Je suis un homme de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a une fille de 25 ans mais :
Mon père a épousé cette fille. A cette heure mon père est donc devenu mon gendre, puisqu’il a épousé ma belle fille.
De ce fait, ma belle-fille est devenue ma belle-mère puisqu’elle est la femme de mon père.
Ma femme et moi avons eu en Janvier dernier un fils.
Cet enfant est donc devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père.
En conséquence, mon oncle, puisqu’il est le frère de ma belle-mère.
Mon fils est donc mon oncle.
La femme de mon père a eu à Noël un garçon, qui est également mon frère puisqu’il est le fils de mon père et mon petit-fils puisqu’il est le fils de la fille de ma femme.
Je suis ainsi le frère de mon petit-fils, et comme le mari de la mère d’une personne est le père il s’avère que je suis le père de ma femme, et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.
Imaginez ce que cela deviendra avec le Mariage pour tous avec un Père qui est la Mère ou une Mère qui est le Père
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"Mes Monstres "de Dino Risi
08/02/2014 18:00
A tous ceux qui liront avec indulgence
cette vie désordonnée
qui est la mienne
(DINO RISI)
Dino Risi (1916-2008)a été de longues années durant une figure centrale du cinéma italien. Entre 1960 et la fin des années 1990, il collabore avec les plus grands de Romy Schneider à Marcello Mastroianni et d’Ugo Tognazzi à Sophia Loren. Souvent nommé mais jamais récompensé au Festival de Cannes, il reçoit en 2002 un Lion d’Or au Festival de Venise.
Le livre est drôle, émouvant, profond, léger, subtil, sensuel. Risi ne lasse jamais le lecteur : il lui fait comprendre, en grand narrateur à quel point il lui est proche. Comme le poète, il s’adresse à lui avec ces mots « Mon semblable, mon frère. »
Dans cette confession autobiographique qui se place sous le signe des « MONSTRES » et des « NOUVEAUX MONSTRES » , galerie de personnages de l’Italie de l’après-guerre cyniques, Risi se révèle être l’égal des Sordi, des Tognazzi, des Mastroianni et des Gassman qu’il mit en scène dans toute leur humanité, dans toute leut italianité. Des monstres d’égoïsme, certes, mais tellement humains, tellement vivants.
On rencontre tout Rome du cinéma dans ces pages, c’est-à-dire le monde entier, au cours de ces glorieuses décades des années soixante et soixante-dix. Acteurs et actrices, producteurs, cinéastes, les héros sont italiens, français, américains, suédois. Et le miracle a lieu. Tous ces personnages, comme leurs spectateurs, sont issus de tous les milieux et c’est pour cette raison que le public les a suivis : parce qu’il se reconnaissait dans les héros, parce qu’il s’identifiait à eux.
ATTENTION: on commence le livre et il est impossible de le refermer. Je l'ai dévoré avec gourmandise !!!!!
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