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Nicolas et Ségolène
26/03/2007 22:01
Bon.j'ai été très sérieuse pour les précédents articles.
J'ai besoin de rire un peu.!!!!et vous pouvez rire aussi......C'est bon pour la santé !!!
C'est beau la fin de la chanson:
"Si vous vous disiez: "JE T'AIME
C'est sûr que vous gagneriez............"
MAIS VOTEZ ARLETTE
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Terrains : piste caillouteuse, 3 jbels, vallée, petit sentier, dunettes, lit d’oued sablonneux,
Température : 38,5° à 14h.
Taux d’humidité : 15% à 14h
Journée ensoleillée, douce brise
OUF !!!!!!!!!!!!!!!
A 21H 30, le résultat des 384 premiers concurrents est enfin connu
Pascale se classe 367 ème
Elle a couru pendant 6H41'39''
Sa vitesse moyenne est de 5,19/hm/h
Elle est 26 ème féminine.
et c'est dur, dur, 5 abandons à la fin de la deuxième étape......
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Le désert
26/03/2007 17:37
Le désert est inhabituellement
….vert et fleuri….
après un hiver particulièrement pluvieux.
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Lahcen Ahansal
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Et de dix ??
J’ai déjà parlé de , Lahcen Ahansal , le Grand Vainqueur du Marathon des Sables. Depuis la 14e édition, aucun concurrent n’a pu lui arracher son titre. Pour cette 22e édition Lahcen compte accomplir un rêve d’enfance : gagner pour la dixième fois le MDS. Pour ce faire, il s’entraîne toute l’année et plus intensivement les 3 mois avant l’évènement. Chaque semaine, il fait plus de
160 km.
 Ce qui est important dans la préparation c’est d’atteindre une condition physique maximum. Pourtant « chaque année quand je reçois le road book, je découvre que le MDS est plus dur ». Lahcen pense qu’il aura une vision plus claire sur ses chances de gagner à partir de la 3e étape.
Issu de la ville de Zagora, Lahcen a su trouver le moyen de se préparer pour affronter les différentes conditions climatiques et de terrain que peuvent lui reserver cette edition.
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2ème étape
KHERMOU- JEBEL EL OTFAL
37,5km
Cette deuxième étape sera la même que pour un précédent marathon. Donc je la connais et la redoute :
UNE ETAPE COLOSSALE
Le mot n’est pas trop fort…37 kilomètres parcourus à travers un relief accidenté, qui laissera sans aucun doute des traces dans les organismes
Le plat de résistance de l’étape :
une montagne sablonneuse de plus de 800 mètres, un mur de sable et de pierre... En moyenne, une pente de 25% à escalader comme on peut.
 Lahcen Ahansal, qui n’a rien d’un débutant, raconte : «j’ai grimpé à quatre pattes...j’ai mis les mains et les pieds j’ai même failli utiliser les dents… ». En arabe, on appelle ça une épreuve « qui vous lave de vos péchés ».
Passés de l’autre côté de la montagne, les coureurs découvrent une descente encore plus compliquée que la montée. Une pente caillouteuse, dure, où les chutes font mal. Au pied de la descente, les coureurs s’engagent sur une série de petites dunes et franchissent enfin, très fatigués, la ligne d’arrivée.
La nuit ne sera pas de trop pour récupérer des fatigues de cette étape monumentale. Et la course ne fit que commencer…
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