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Espalion
21/06/10 14:00

Espalion est une belle ville.
J'ai aimé son pont sur le Lot..................mais aussi j'ai dégusté la tête de veau et l'aligot !!!! (deux spécialités incontournables )
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Week end dans l'Aubrac
20/06/10 21:00
Le week end dernier j'étais parmi les moutons pour la transhumance à l'Espérou.
Ce week end, c'est aux vaches de l'Aubrac que j'ai rendu visite.
Espalion, Laguiole, Chaudes-Aigues, Nasbinals..........sont des endroits que j'aime au printemps...........
AU PRINTEMPS, que dis-je??????????ce matin en ouvrant ma fenêtre la pharmacie affichait 3° sur son grand panneau lumineux.........
Des averses, du vent, du froid.....malgré tout cette région est superbe, verte et fleurie.
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Bê...............bê........................bê.........
12/06/10 20:20

Quelle joie le matin en ouvrant mes fenêtres sur l'Espérou de voir un grand ciel bleu.
C'était tellement inespéré après la soirée de la veille froide, ventée et pluvieuse............
Les visiteurs viennent nombreux et souvent de très loin pour prendre part à cette fête !
Les bergers et les autres producteurs gardois profitent de cette journée pour mettre en avant fromages, viandes et autres délices que l'on peut déguster et acheter sur place pour se régaler une fois rentré à la maison......

C'est un formidable moment de fête, de tradition et de plein air dans une ambiance saine et agréable propice à la rencontre et à la découverte......

Et les chiens de berger m'ont émerveillée. Quelle rapidité, quelle efficacité pour rassembler le troupeau et obéir aux ordres du berger !
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La transhumance àl'Espérou
10/06/10 14:00
Il faut vous dire qu'en Provence, c'est l'usage, quand viennent les chaleurs, d'envoyer le bétail dans les Alpes. Bêtes et gens passent cinq ou six mois là-haut, logés à la belle étoile, dans l'herbe jusqu'au ventre; puis, au premier frisson de l'automne, on redescend au mas, et l'on revient brouter bourgeoisement les petites collines grises que parfume le romarin... Donc hier soir les troupeaux rentraient. Depuis le matin, le portail attendait, ouvert à deux battants, les bergeries étaient pleines de paille fraîche. D'heure en heure on se disait: "Maintenant, ils sont à Eyguières, maintenant au Paradou." Puis, tout à coup, vers le soir, un grand cri: "Les voilà!" et là-bas, au lointain, nous voyons le troupeau s'avancer dans une gloire de poussière. Toute la route semble marcher avec lui... Les vieux béliers viennent d'abord, la corne en avant, l'air sauvage; derrière eux le gros des moutons, les mères un peu lasses, leurs nourrissons dans les pattes; les mules à pompons rouges portant dans des paniers les agnelets d'un jour qu'elles bercent en marchant; puis les chiens tout suants, avec des langues jusqu'à terre, et deux grands coquins de bergers drapés dans des manteaux de cadis roux qui leur tombent sur les talons comme des chapes. Tout cela défile devant nous joyeusement et s'engouffre sous le portail, en piétinant avec un bruit d'averse... Il faut voir quel émoi dans la maison. Du haut de leur perchoir, les gros paons vert et or, à crête de tulle, ont reconnu les arrivants et les accueillent par un formidable coup de trompette. Le poulailler, qui s'endormait, se réveille en sursaut. Tout le monde est sur pied: pigeons, canards, dindons, pintades. La basse-cour est comme folle; les poulets parlent de passer la nuit!... On dirait que chaque mouton a rapporté dans sa laine, avec un parfum d'Alpe sauvage, un peu de cet air vif des montagnes qui grise et qui fait danser. C'est au milieu de tout ce train que le troupeau gagne son gîte. Rien de charmant comme cette installation. Les vieux béliers s'attendrissent en revoyant leur crèche. Les agneaux, les tout petits, ceux qui sont nés dans le voyage et n'ont jamais vu la ferme, regardent autour d'eux avec étonnement. Mais le plus touchant encore, ce sont les chiens, ces braves chiens de berger, tout affairés après leurs bêtes et ne voyant qu'elles dans le mas. Le chien de garde a beau les appeler du fond de sa niche: le seau du puits, tout plein d'eau fraîche, a beau leur faire signe: ils ne veulent rien voir, rien entendre, avant que le bétail soit rentré, le gros loquet poussé sur la petite porte à claire-voie, et les bergers attablés dans la salle basse. Alors seulement ils consentent à gagner le chenil, et là, tout en lapant leur écuellée de soupe, ils racontent à leurs camarades de la ferme ce qu'ils ont fait là-haut dans la montagne, un pays noir où il y a des loups et de grandes digitales de pourpre pleines de rosée jusqu'au bord.
Chaque année, le mois de Juin voit la longue et belle procession de troupeaux de moutons montant en transhumance vers le Mont Aigoual ou le Mont Lozère.
Cette année, c'est le samedi 12 Juin que les bergers et quelques milliers de brebis vont faire une pause festive sur les pentes de l'Espérou.
Parés de leurs plus beaux pompons et de leurs sonailles, les moutons partent pour plusieurs mois d'estive vers les pâturages d'altitude.
JE VAIS VIVRE L'EVENEMENT.................

je rapporterai des photos...........................
et me revient en mémoire le récit d'Alphonse Daudet, que j'ai si souvent récité à l'école et que j'ai retenu avec fidélité.....(lire ci-dessus)
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Le Mont Cassini
08/06/10 19:00
Nous étions partis joyeux et confiants pour une longue balade de la journée au Mont Cassini..........................
Hélas
Madama Météo en a décidé autrement. Du brouillard, du crachin, du froid, puis de la vraie pluie nous ont obligés à rebrousser chemin!!!!!
Après la balade autour de chez moi égayée par des champs de marguerites et de coquelicots, nous avons partagé notre frugal repas ...........NON PAS SI FRUGAL QUE CELA...................... chez moi et je remercie vous tous qui avez accepté mon invitation. Tout le plaisir fut pour moi.

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