Le cheval de Przewalski est le dernier cheval sauvage au monde, il n'a jamais été domestiqué. Autrefois, ce cheval ou ses cousins parcouraient librement l'Asie Centrale et l'Europe, comme en témoignent les fameuses peintures rupestres du sud de la France (les grottes de Lascaux ou Niaux) et du nord de l'Espagne.
Depuis longtemps, ce cheval n'existe plus en liberté en Europe: les derniers individus furent observés dans les années 70, en Dzoungarie (Mongolie).
Grâce aux zoos, l'espèce a pu être sauvée de l'extinction. Mais elle n'existe plus qu'en captivité. Ce mode de vie, dénué de sélection naturelle, risque d'être préjudiciable à son avenir à long terme. Ainsi, des plans de réintroduction commencent à voir le jour, notamment en Mongolie et en Chine, pays où les derniers chevaux de Przewalski vivaient en liberté, mais ces projets s'avèrent difficiles et longs à mettre en oeuvre. En attendant leur réintroduction dans leurs pays d'origine, il est important que plusieurs groupes de chevaux vivent très rapidement dans les conditions les plus naturelles possibles.
A cette fin, l'Association TAKH pour le cheval de Przewalski (Takh en mongol signifie cheval sauvage), créée en 1990 sous l'égide de la Station Biologique de la Tour du Valat, du W.W.F et du Parc National des Cévennes, a acquis une propriété de 312 hectares sur le Causse Méjean, autour du hameau du Villaret (Lozère). L'objectif de l'association est de contribuer à la sauvegarde de l'espèce, en créant et en maintenant un troupeau naturel de chevaux de Przewalski, composé de plusieurs groupes familiaux, tout en entretenant par le pâturage une steppe d'origine pastorale avec sa flore et sa faune caractéristiques.
Quelques jours en Lozère, pour moi, c'est du bonheur. J'aime la fraîicheur de son climat, les champs, verts et fleuris, les gorges de ses rivières: Le Tarn et la Jonte et la beauté de ses villages que l'on découvre au gré des balades............Saint Enimie, la Malène, Roziers..............et bien d'autres..
Au pied du Mont Aigoual, aux portes des Gorges du Tarn et de la Jonte, le Trépalous a creusé les gorges du Tapoul, un site R.E.M.A.R.Q.U.A.B.L.E.................
L'endroit est idéal pour le canyoning et on y trouve une belle voie ferrata...................deux sports difficiles et dangereux. Je n'ai plus l'âge de les pratiquer, mais il me reste les yeux pour admirer et la descente par un petit chemin pentu et glissant (pour aller faire ces photos !!!) , ça a déja été du sport !!!!
Pour rejoindre Moscou depuis Saint Petersbourg, il faut naviguer sur la Neva, le lac Ladoga, le Lac Onega, le Lac Blanc, la Volga..............Il a fallu franchir 11 écluses........................
Voyager sans obstacles de Moscou à Saint Petersbourg, c'était le rêve de Pierre le Grand, un rêve inaccompli. La ville de Moscou n'a été unie à la Volga qu'à partir de 1825. Le premier canal a bientôt été abandonné à cause de la popularité des chemins de fer.
Dans les années 30 du 20ème siècle, Staline n'hésitait pas à utiliser la main d'oeuvre gratuite en engageant pour la construction les prisonniers du GOULAG. L'exploit était incontestablement , impressionnant.
Pour le projet, il a fallu batir 7 digues de béton, 8 digues de terre, 11 écluses, 8 centrales hydroélectriques, 5 stations de pompage, 15 ponts, 2 tunnels et le terminal Nord des passagers avec son port marchand.
Pendant les cinq années de la construction, les travailleurs ont excavé plus de 200 millions de mètres cubes de terre et déversé plus de 300 millions de mètres cubes de béton, sur une longueur de 128 kilomètres.
Le 15 Juillet 1937, Moscou est devenu un port relié à toutes les principales mers de la Russie. La capitale avait aussi gagné une source hydroélectrique et des aires réservées au loisirs..............