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Rentrée des classes
31/08/2006 13:35
C'est fait...................
Le papa, la maman, le papy, la mamie, et même le petit frère ont accompagné Pierrot pour sa rentrée à l'école maternelle.
Les hommes ont attendu lâchement au portail, pendant que la maman et la mamie essayaient de faire prendre connaissance de la classe, de la maîtresse , des petits copains et des jouets à Pierrot qui n'était pas très rassuré.........
Comme pour tous les enfants l'arrachement à la maman a été douloureux. Des larmes et des cris.........
Mais il est sorti ravi: "Je suis allé au tourniquet, la maîtresse a raconté une histoire, j'ai plein de copains........
Il reprend Lundi
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L'Ultra-Trail du Mont Blanc
14/08/2006 09:27
Je cite la lettre d'un coureur d'Ulta -Trail. Pascale m'a expliqué de la même façon l'évolution de son mental lors de la "DIAGONALE DES FOUS" à LA REUNION.
Mon royaume pour une lettre : SOLITAIRE-SOLIDAIRE
On se dit tous forcément un jour que l’ultra est un sport ingrat, qu’on est un incompris. On se demande pourquoi les collègues de bureau nous traitent de fada et pourquoi nos familles sont inquiètes. Si nous en retirons une certaine solitude, elle est aussi, parfois, teintée de fierté. Je ne parle pas ici de cette fierté ahurie d’arriver au bout d’épreuves apparemment difficiles. Je parle de cette fierté de le faire en restant toujours lucide et toujours attentif au monde qui nous entoure.
Car courir un ultra, n’est pas juste un moment privilégié d’introspection. Courir un ultra, c’est aussi une aventure qui nous guette, des sourires qui s’esquissent, des rencontres qui nous marquent et même parfois des rencontres qui changent notre vie.
Et voilà que l’ultra nous offre le plus beau paradoxe. Il passe du statut de sport solitaire, aride, ascétique, mal compris, à celui de pratique solidaire, ouverte à l’autre et qui sait faire fi de soi pour l’intégrer dans sa sphère personnelle.
C’est là que toute la magie des kilomètres opère, comme si le bien être des premières foulées rendait égoïste, jaloux de son plaisir.
Puis peu à peu, on devient faible, on se replie, on souhaite que plus personne ne vous adresse la parole pour pouvoir souffrir en silence. Trente-cinq kilomètres. Quarante kilomètres. Cinquante kilomètres. Trois heures de course . Quatre heures de course. Huit heures de courses. Peu à peu, on se prend à regarder autour de soi, à espérer un petit encouragement, un petit applaudissement.
Il n’y a pas d’adversaire, on vit la même expérience intense que ses compagnons de route. Peu à peu, on devient aimable en ressentant cette bouffée d’énergie à chaque encouragement d’un frère ou d’une sœur d’armes. Les liens ses resserrent et ces coureurs avec qui l’on fait le yo-yo depuis des heures deviennent des amis.
Conscients de ce qu’ils nous apportent, à ce moment là, il devient bientôt impossible de les abandonner là, alors qu’ils affrontent un terrible coup de barre. Le solitaire devient solidaire et c’est juste une petite lettre qui change, comme un équilibre instable qui nous aide à affronter l’adversité ou au contraire, à apprécier le moment présent.
Le plaisir de changer à satiété le « d » en « t », puis le « t » en « d » à nouveau, je l’échange contre mon royaume en friches de bonheurs inutiles.
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Willy le 9 août
09/08/2006 22:15
Cinq photos du petit Willy , prises ce jour.
Il grandit bien, il est très sage, il sourit toujours.
Que demander de plus .
Pourvu que ça dure..................................................
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A Pascale....
06/08/2006 16:18
Mais oui, Pascale, tu as une passion qui te prend beaucoup de temps, la course et les marathons, des entraînements longs et quotidiens.
Peut-être qu'un jour, tu te remettras au piano.
Aujourd'hui, j'écoutais "La lettre à Elise" que tu nous jouais si souvent quand tu étais petite. Tu peux la réentendre dans mes messages audio.Moi, je la jouais aussi mais très mal. Tiens je vais descendre au piano et essayer.Beethoven risque de se retourner dans sa tombe, enfin, heureusement il était sourd.
Pour l'écouter choisis le lecteur Window Media Player.
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A Pascale
25/07/2006 20:44
Nostalgie...........
Pascale, t'en souviens-tu? Pendant trois années successives je t'ai présentée à Madame Raynaud-Zurfluh "Au Royaume de la Musique" à Nîmes.
Tu as été sujet, puis écuyer de ce royaume et tu as été classée en 1/4 finale du Grand Concours National des Tournois.
Tu a joué au cours d'une audition:
"LE PETIT NEGRE " de Debussy.
Tu peux le réécouter dans mes messages audio.
Merci pour le plaisir que cela nous donnait.
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