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Jeu de mémoire
07/12/12 16:00
Voici un petit jeu intéressant !!!
Est-ce que votre cerveau a l'âge de votre coeur ou est-il plus VIEUX ? Lisez bien les consignes ci-dessous avant de cliquer sur le lien, car ce jeu est en japonais:
1. Cliquez sur 'start' 2. Attendre le compteur 3, 2, 1 3. Mémorisez bien la position des numéros qui apparaissent sur l'écran, ensuite cliquez sur les cercles dans l'ordre du plus PETIT au plus GRAND numéro. 4. À la fin du jeu, l'ordinateur vous dira l'âge de votre cerveau.

CLIC SUR L'IMAGE
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Pour le plaisir des yeux !!!!
06/12/12 17:00




Cela me rappelle les poupées de mon enfance !!!!
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Les virelangues
04/12/12 10:00

Kiki était cocotte et Koko concasseur de cacao....................
Kiki la cocotte aimait beaucoup Koko le concasseur de cacao. Or un marquis caracolant, caduc et cacochyme conquis par les coquins quinquets de Kiki la cocotte, offrit à Kiki la cocotte un coquet caraco kaki à col de caracul.
Quand Koko le concasseur de cacao s'aperçut que Kiki la cocotte avait reçu du marquis caracolant , caduc et cacochyme un coquet caraco kaki à col de caracul, Koko le concasseur de cacao conclut:
"Je clos mon caquet, je suis cocu !"
UN BON EXERCICE DE DICTION !!!!!
et pour d'autres virelangues, cliquez ci-dessous...
CLIC
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La mamée
02/12/12 20:30

Lisez ce poème si émouvant, mais surtout écoutez Odette nous le dire avec toute sa passion et sa sincérité. Une belle émotion !!!

Elle se tenait assise tout au bout de la table Et nous impatientait souvent par sa lenteur. On la voyait si vielle, si courbée, pitoyable, Que l’amour peu à peu cédait à la rancœur. Je la suivais partout ! c’était là, dans ma tête ! Elle me suivait des yeux lorsque je travaillais, Proposait de m’aider, maladroite, l’air tout bête ! Elle gênait nos projets, notre vie, la mamé ! Au bout de quelques temps, prétextant les vacances, Je la menais plus haut, au flanc du Luberon « Tu seras bien là-bas. Tu verras la Durance Du haut de la terrasse de la grande maison. Ces maisons-là, mamé, sont faites pour les vieux. Regarde comme ils semblent bien, ils ont l’air très heureux ! » « Comme tu veux, petite, si c’est pour ton bien-être. Monte de temps en temps, le dimanche peut être ? » Je l’ai laissé toute seule, vivement, pas très fière. L’air était encore chaud, pourtant je frissonnais, Et le chant des oiseaux voletant sur le lierre Me disait doucement : « Qu’as-tu fait de la mamée? » Les jours se succédaient, je cherchais la quiétude Le travail me prenait, j’essayais d’oublier, De noyer mes regrets au fil des habitudes, Les souvenirs d’antan rappelaient la mamé. Même dans le mistral qui rasait la garrigue Pour venir s’écraser au butoir de la digue J’entendais cette voix qui ne cessait jamais De dire à mon oreille : « qu’as-tu fait de la mamée ? » Chaque brin de lavande, de thym, de romarin, Me reprochait sans fin l’absence de l’aïeule. Le murmure des sources dans le petit matin Chantait sur mon cœur lourd des cantiques de deuil. Le remord lentement s’installait dans ma vie. Je revenais m’asseoir ou elle s’était assise, Sur le banc de vieux bois, près du puits, sous le chêne, Et je laissais errer mes pensées sur la plaine. Alors, je l’ai revu, avant, lorsqu’il marchait Jusqu ‘au seuil de l’école, pour venir me chercher. Je sautais dans ses bras, je l’embrassais, tout doux, Et nichais tendrement ma tête sur son cou. Elle me portait un peu, puis, ma main dans sa main, Elle ajustait son pas pour bien suivre le mien. Elle m’expliquait les bois, les cabris, les moutons, Les abeilles dorées et les beaux papillons. Elle cueillait aux buissons des réserves de mûres Et m’offrait les plus grosses comme un présent de choix. Elle riait bruyamment en voyant ma figure Barbouillée des reliefs de ce festin de roi. Le soir près de mon lit, elle venait me bercer De chansons provençales, d’histoires de bergers. Je m’endormais heureuse de sa chaude présence, Pleine de rêverie, d’amour, de confiance. Au long des souvenirs, mon cœur plein de pitié A trouvé le repos. J’ai repris le sentier Pour revenir tout droit à la grande maison. Retrouver la mamée, lui demander pardon. J’ai pris tout simplement sa main, sans rien lui dire. Une larme brillait au milieu du sourire. Et c’est moi, cette fois, tout au long du chemin Qui ajustais mon pas, pour bien suivre le sien. Une mamé c’est précieux, c’est tant de souvenirs ! Si vous en avez une, jusqu’au bout de vos jours, Gardez-la près de vous. Quand elle devra mourir, Vous fermerez ses yeux dans un geste d’amour. Aujourd’hui, par hasard, si le chant des cigales Me pose la question tant de fois redoutée, Je peux, le cœur tranquille, en digne Provençale Répondre fièrement : « elle est là, la mamée »
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A méditer
30/11/12 17:50




Pour ça, je parle !!!!!


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