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« Sur ce sentiment inconnu, dont l’ennui, la douceur m’obsèdent, j’hésite à apposer le nom, le beau nom grave de tristesse. ».
rançoise a tout juste 18 ans quand elle écrit les premières lignes de BONJOUR TRISTESSE, un roman dont le succès fulgurant suffira à lancer le mythe de "LA SAGAN".
n mythe fait de formules brillantes, d’amours affranchies et de scandales tapageurs, derrière lesquels se cache une femme que l’on qualifie d’anticonformiste pour ne pas dire libre.
ibre d’écrire, d’aimer, et de se détruire……..
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attendais ce film avec impatience………à 18 ans je lisais « Un certain sourire » et « Bonjour tristesse »( le roman que je préférais) et j’admirais la vie flamboyante et dissolue de cet écrivain qui défrayait la chronique. Cette vie est racontée avec fidélité……..les belles voitures et les accidents, l’alcool, la drogue, le jeu, les liaisons .
ylvie Testud ne joue pas Sagan, elle est Sagan. Elle s’approprie le rôle, elle crève l’écran. Elle est entourée et servie par de bons partenaires. Le film dure 2 heures qui s’écoulent très vite .
Sylvie Testut est à Sagan ce que Marion Cotillard est à Piaf.
Le film finit sur ces mots:
Françoise Sagan a écrit elle-même sa rubrique nécrologique dans « Le dictionnaire » :
« Fit son apparition en 1954 avec un mince roman « Bonjour Tristesse », qui fit un scandale mondial. Sa disparition, après une vie et une œuvre également agréables et bâclées, ne fut un scandale que pour elle-même »
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